Masoe présente sa dystopie musicale sur l’EP “MAJE”


Après “METOO” et “JUPITER” parus tous deux l’an dernier, Masoe présente enfin son premier EP. Intitulé “MAJE”, ce projet est pour l’artiste l’occasion de défendre son univers. Auteur de textes engagés, il dévoile sur son EP, sa vulnérabilité mais également son empreinte sonore. The Melting POP vous en dit plus…

Masoe - "Maje" : premier EP
Masoe - "Maje" : premier EP 

Une plume froide et percutante

Depuis quelques mois, Masoe tease sur ses réseaux sociaux l’arrivée de son premier EP. Son objectif : mettre en musique des thèmes de société et des engagements qui lui tiennent à coeur. Ainsi, après un passage remarqué dans la première saison de "Destination Eurovision" sur France 2, c’est avec des titres ayant pour sujet le harcèlement sexuel ou encore l'adultère qu’il a voulu se présenter au public. Posée sur des productions sombres, l’intensité de ses textes surprend et c’est dans cette continuité qu’il a décidé de travailler son tout premier EP. Entouré à la production de son acolyte Kouny, il ajoute 3 titres inédits à son univers et offre donc depuis le 10 janvier dernier l’EP “MAJE”. Sur celui-ci, outre les titres “METOO” et “JUPITER” parus en 2019, Masoe s’engage avec ligne de mire, le dérèglement climatique, la drogue ou encore les violences humaines. Froids, directs et percutants, les titres de l’artiste sont teintés de pessimisme mais au-delà de cette dystopie musicale, c’est un projet cohérent et maîtrisé de bout en bout qui s’offre à nous. Tenant également à soigner ses visuels, Masoe se met également en scène dans le clip de son dernier single “ALASKA”. Dans celui-ci, déambulant au coeur de Paris, l’artiste se pavane en combinaison anti-atomique. Un message visuel brutal et étonnant. 

“MAJE” : la Release party

Pour défendre son projet, Masoe organise le 22 février prochain, une release party à Paris. Sur la scène du 1999 dans le XIe arrondissement, accompagné en première partie de la jeune MARINE (une artiste de 22 ans qui sortira son premier single “À Demain” le 16 février 2020), il entend bien défendre scéniquement son travail, un rendez-vous à ne pas manquer.

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